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Inscrit le: 17 Mai 2014 Messages: 266 Localisation: Ile de France
Posté le: 21 Sep 2014 18:34 Sujet du message:
Cuneytbelmondo a écrit:
La statue de la liberté a été construite rue chazelle dans le 17e à Paris près de Montmartre, à ma connaissance ce n\\\\\\\'est pas un quartier chinois.......
C\'est ce qui est marque sur le site effectivement, habitant un quartier proche du quartier asiatique j\'avais entendu dire qu\\\'elle avait été construite dans ce quartier qui était autrefois très industriel (Panhard, Béghin-Say, Delahaye). Ce serai faux ? Pourquoi-pas!
Inscrit le: 30 Jan 2006 Messages: 11193 Localisation: Nancy / France
Posté le: 19 Oct 2015 12:10 Sujet du message:
Il figure sur toutes les adresses email. L'arobase est pourtant beaucop plus ancient qu'inernet, ou meme que l'informatique. Il remonte au Moyen age. Le signe @ était employé en Espagne pour symboliser Arroba, une ancienne unité de masse équivalante à environ 11.3 kg. L'utilisation de ce caractère a été déformée lors du developpement massif du commerce, à la Renaissance, pou les marchands des aures pays, notamment anglo-saxons. Le @ a laors, été employé comme abréviation de l'anglais "at" (signifiant "à " ou "chez"), en raison de la ressemblance entre ce signe et ce mot. On pouvait trouver sur certains marchés anglais des inscriptions comme "6 eggs@s20" signifiant "six oeufs à 20 shillings ". cette significations a motive l'informaticien américain Ray Tomlinson à utuliser ce symbole dans la création des adresses e-mail , en 1971. Il signifie ainsi que le destinataire est lié à tel ou tel site Internet (nom@site.com). Aujourd'hui , on retrouve ce signe sur les forums de discussion en ligne ou encore sur Twitter
Bonsoir ou bonjour a toutes et a tous.
Je vois que ca fouille encore les anciens topics .
Non je la ramenais juste pour vous dire un petit bonjour.
Du genevois .
Et n oubliez pas d aller voter massivement AKP
Tout autre solution serai un desastre
Un petit köy aussi sur notre equipe national qui a yerine les qualifes
Sur 3 prestations de malade .
Vivement l euro ca va metre chaud.....
Inscrit le: 12 Jan 2008 Messages: 13633 Localisation: Paris
Posté le: 28 Oct 2016 2:12 Sujet du message:
Le saviez-vous ?
Pourquoi les bouteilles de vin font-elles 75cl ?
Les bouteilles de vin font 75 centilitres et non un litre.
D'où vient cette exception ?
La contenance de la bouteille de vin a été standardisée au 19e siècle et depuis les théories les plus folles sont nées de cette mesure singulière.
Cela correspondrait à :
• La capacité pulmonaire d'un souffleur de verre
• La consommation moyenne lors d'un repas
• Une meilleure façon de conserver le vin
• Une facilité de transport.
La réponse n'est dans aucune de ces théories et encore moins dans la législation française ou européenne
Il s'agit simplement d'une organisation pratique et historique.
A cette époque, les principaux clients des viticoles français étaient les Anglais.
Mais nos voisins britanniques n'ont jamais eu le même système de mesure que nous.
Leur unité appelé "gallon impérial" valait précisément 4,54609 litres.
Pour éviter un casse-tête dans la conversion, ils transportaient le Bordeaux en barriques de 225 litres, soit 50 gallons, en arrondissant.
Et 225 litres correspondent à 300 bouteilles de 75 centilitres.
Or 300 est un chiffre plus aisé pour faire des calculs que 225.
On avait donc : 1 barrique, 50 gallons, 300 bouteilles.
Ainsi un gallon valait 6 bouteilles.
C'est d'ailleurs pourquoi, aujourd'hui encore, les caisses de vin sont la plupart du temps vendues par 6 ou 12 bouteilles...
Inscrit le: 17 Mai 2014 Messages: 266 Localisation: Ile de France
Posté le: 28 Oct 2016 9:59 Sujet du message:
En France la bière pression se vend au comptoir des débits de boisson par "demi", demi qui est en fait un quart de litre. Pourquoi ?
Il s'agit d'un demi-settier, le settier (un peu plus d'un demi-litre) est une vieille mesure parisienne remontant probablement aux romains. C'était la quantité habituelle délivrée dans les auberges. Théoriquement aboli à la révolution le nom s'est perpétué pour le quart de litre proche.
Puisqu'il s'agissait d'une étude réalisée par INSERM et l'Université de Harward, j'ai voulu trouver l'information en français et après une recherche quelque peu laborieuse, enfin je l'ai trouvé :
Finalement, il vaut éviter les produits désinfectant en spray. Moi qui utilise abondamment Sanytol pistolet et qui apprécié l'odeur, je remercie Cumhuriyet!
Ceci dit je suis allé sur le site de la marque qui affiche qu'il n'y pas de javel!
A Paris les maitres-nageurs, presque tous fonctionnaires municipaux, ont la possibilité de prendre leur retraite à partir de 55 ans car ce métier est classés dans les "professions pénibles" non en raison de l'activité (regarder les filles assis sur une chaise ...) mais des vapeurs de chlore respirées.
Inscrit le: 30 Jan 2006 Messages: 11193 Localisation: Nancy / France
Posté le: 01 Mai 2018 3:22 Sujet du message:
Deep State / État profond / Derin Devlet
Saviez-vous?
Citation:
L’expression est apparue dans les années 1920 pour décrire l’alliance entre policiers et crime organisé qui tirait les ficelles – dans le sang s’il le fallait – à la place du gouvernement fantoche en Turquie
La méfiance à l’égard du “Deep State” ne date pas d’hier mais elle est ravivée aujourd’hui par la Maison-Blanche dans l’affrontement larvé qui l’oppose au FBI.
Il y a deux ou trois ans, les seuls Américains qui avaient entendu parler de l’expression “Deep State” [“État profond” ou “État dans l’État”] étaient une poignée de politologues marginaux et les lecteurs d’une obscure bande dessinée qui narrait les aventures d’une équipe du FBI chargée de dissimuler le fait que les Russes avaient devancé les Américains sur la Lune.
Depuis, “Deep State” a fait une entrée fracassante dans le vocabulaire des Américains. Des élus du Congrès promettent de tout faire pour y mettre un terme. Trump prétend qu’il a pris le contrôle du FBI. Les podcasts d’extrême droite prédisent qu’il va causer notre perte. Les commentateurs de gauche râlent parce qu’on leur a volé leur concept.
“Ce qui est fou, c’est que les cinglés à droite comme à gauche se sont enfin trouvés et qu’ils sont à fond sur ce truc de Deep State, à tel point que c’est entré dans le langage courant”, souligne le journaliste et historien Max Holland, auteur d’ouvrages sur le scandale du Watergate et sur l’assassinat de Kennedy.
Avant, les théories du complot se limitaient à un seul dossier : l’assassinat de JFK. Maintenant, elles sont partout.”
C’est peut-être un peu excessif, mais à peine. Un sondage ABC News-Washington Post montrait l’année dernière que près de la moitié des Américains pensaient qu’un État dans l’État – défini comme “des cadres de l’armée, des services secrets et du gouvernement qui essaient secrètement de manipuler les décisions du gouvernement” – œuvrait dans les coulisses, et que le gouvernement élu n’était qu’une façade.
La définition des sondeurs ne correspond pas forcément à celle utilisée dans le débat public. Qu’est-ce, exactement, que le Deep State ? Tout dépend à qui vous vous adressez, que ce soit à des politologues sérieux qui pérorent sur le panier de crabes dans lequel évoluent les hauts fonctionnaires du gouvernement, ou à des cinglés comme cet invité de l’émission de radio de l’animateur ultraconservateur Alex Jones qui a hurlé : “Trump va être tué… ils vont tous nous tuer, ils vont le tuer, ils vont tuer tout le monde !”
Même si Trump et consorts ont popularisé ce terme – en référence à ce qu’ils pensent être un complot destiné à contrecarrer leur action, mis en œuvre par des hauts fonctionnaires du gouvernement, des institutions et leurs alliés dans les grands médias – le concept de Deep State les a précédés de longue date.
Origines en Turquie
L’expression est apparue dans les années 1920 pour décrire l’alliance entre policiers et crime organisé qui tirait les ficelles – dans le sang s’il le fallait – à la place du gouvernement fantoche en Turquie. Le premier à appliquer ce concept aux États-Unis a été Peter Dale Scott, un professeur de l’université de Californie, plutôt très à gauche, dans son livre sorti en 2007 The Road to 9/11. Wealth, Empire, and the Future of America [La Route vers le nouveau désordre mondial, Demi-Lune, 2010], qui révèle la face cachée d’événements aussi divers que l’assassinat du président Kennedy, le Watergate et le scandale Iran-Contra. “Il n’y a rien de complètement insensé dans l’idée d’un État profond, dans l’idée que les élites, en dehors du gouvernement et en son sein, exercent des pouvoirs qui ne leur sont conférés ni par la Constitution ni par les électeurs, explique Peter Dale Scott. Trump et les autres ont peut-être un peu forcé le trait, mais c’est l’idée.”
D’autres personnes parfaitement respectables ont déjà formulé cette idée, y compris au moins un ancien président américain. En 1961, plus de quarante ans avant la parution du livre de Scott, le président Eisenhower ne disait pas autre chose quand il mettait en garde le pays en affirmant : “Nous devons nous garder de toute influence injustifiée – qu’elle ait ou non été sollicitée – exercée par le complexe militaro-industriel.”
“Eisenhower n’a pas utilisé le terme, mais il parle clairement d’un État profond, souligne Joseph Uscinski, politologue à l’université de Miami. C’est une idée qui ne date pas d’hier.” Mais cela ne veut pas dire pour autant qu’elle soit valable, ajoute-t-il, d’autant plus que Trump et ses supporters utilisent le terme à tout bout de champ.
“Dire que le président fait face à une résistance des hauts fonctionnaires qui ne veulent pas de son programme n’est pas faux, explique Uscinski. Dire que certaines instances de l’État ont leurs propres priorités, ce n’est pas faux non plus. Et dire qu’une cabale du FBI essaie de faire tomber le président, c’est aussi plausible. Mais il ne suffit pas de le dire, il faut apporter des preuves.”
Il n’y a pas si longtemps, ce concept d’État dans l’État aurait été balayé d’un revers de main par la plupart des Américains. En 1956, le sociologue C. W. Mills a publié un essai intitulé The Power Elite [L’Élite au pouvoir, Agone, 2012], qui commence par ces mots :
Les décisions des hommes ordinaires se heurtent à la réalité quotidienne dans laquelle ils vivent. Pourtant, même dans leur travail, leur famille ou leur quartier, ils sont souvent apparemment gouvernés par des forces qu’ils ne peuvent ni comprendre ni maîtriser.”
L’argument de Mills, assez proche du concept de Deep State – qui consiste à penser que le pays était en fait dirigé par un réseau imbriqué d’individus venant des mêmes familles, ayant étudié dans les mêmes lycées et les mêmes facultés, ayant rejoint les mêmes sociétés secrètes ou clubs privés, se retrouvant dans les mêmes comités de direction et se mariant souvent entre eux –, avait au départ été considéré comme une pure aberration par les grands médias et les universitaires les plus respectables. À l’époque, la New York Times Book Review l’avait qualifié de “charge caricaturale”, et le magazine Time de “charabia sociologique”.
Mais moins de dix ans plus tard, la plupart des professeurs d’université en sciences politiques le faisaient lire à leurs étudiants. Son influence a même dépassé les frontières du pays. Fidel Castro en avait fait son livre de chevet et le pillait d’ailleurs sans vergogne pour ses discours.
Dessous peu reluisants
Les révélations de ces cinquante dernières années sur les dessous peu reluisants du gouvernement américain ont beaucoup contribué à rendre les Américains plus méfiants à l’égard des us et coutumes de Washington. Est-ce complètement insensé de comparer le gouvernement américain à un pays aussi instable que la Turquie au début du XXe siècle ? Peut-être. Mais ce n’est pas plus insensé que le fait – et il s’agit bien là de faits avérés – que le Pentagone ait envoyé un espion à la Maison-Blanche sous Nixon pour voler des secrets dans les corbeilles à papier. Ou que la CIA ait administré du LSD à des civils sans les prévenir pour voir s’ils étaient plus réceptifs à la manipulation mentale. Ou encore que le gouvernement ait espionné les gens via leur console de jeux Xbox. (Edward Snowden, le sous-traitant de la NSA qui a révélé les secrets sur la Xbox a ainsi déclaré au magazine The Nation : “Le Deep State existe, ça ne fait aucun doute. Vous pouvez me croire. J’y étais.”)
Même les observateurs qui ne sont pas convaincus que Trump soit la victime d’une cabale à Washington ne nient pas l’existence d’une version plus policée du Deep State : une vive résistance de la part de fonctionnaires pléthoriques au sein du gouvernement, qui, protégés par leur statut, restent en place tandis que les gouvernements se succèdent.
Les bureaucraties peuvent finir à la longue par ressembler à ces organismes vivants qui se battent pour protéger leur territoire, leurs membres se méfiant les uns des autres et encore plus des élus, que les fonctionnaires ont tendance à considérer comme des espèces nuisibles temporaires.
“Le problème s’aggrave quand il y a de forts contrastes idéologiques d’une administration à l’autre, souligne Adam J. White, chercheur à la Hoover Institution et directeur du Centre d’études de la fonction publique à l’université George Mason de Washington. “Pendant huit ans, nous avons eu Obama, sans doute le président le plus progressiste de l’histoire, et la plupart des gens qu’il a embauchés partageaient la même vision politique. Maintenant il est remplacé par un type qui a promis de ‘faire le ménage’ à Washington. Avant son arrivée à la Maison-Blanche, il y avait déjà des gens qui annonçaient qu’ils allaient entrer en ‘résistance’. Qu’il y ait aujourd’hui des problèmes ne fait donc aucun doute.”
Inscrit le: 12 Jan 2008 Messages: 13633 Localisation: Paris
Posté le: 12 Aoû 2018 0:46 Sujet du message:
Philippe a écrit:
Cuneytbelmondo a écrit:
La statue de la liberté a été construite rue chazelle dans le 17e à Paris près de Montmartre, à ma connaissance ce n'est pas un quartier chinois.......
C'est ce qui est marque sur le site effectivement, habitant un quartier proche du quartier asiatique j'avais entendu dire qu'elle avait été construite dans ce quartier qui était autrefois très industriel (Panhard, Béghin-Say, Delahaye). Ce serai faux ? Pourquoi-pas!
Aksener aussi tombe dans le panneau! Et dit à Trumph que la statue de liberté est payé par le peuple turc !!!
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