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Actualité du 04 & 05.09.2009

 
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MessagePosté le: 05 Sep 2009 17:24    Sujet du message: Actualité du 04 & 05.09.2009 Répondre en citant

>>> EU&TR
La Turquie critique les opposants à son entrée dans l'UE

Le Monde – 05/09/2009

Le chef de la diplomatie turque a mis en garde samedi les pays comme la France qui s'opposent à son entrée dans l'UE en soulignant que cela sème "le doute" dans l'esprit des Turcs et freine les réformes dans le pays.

"Les voix négatives que nous entendons toujours de la part de certains pays de l'UE répandent le doute parmi nos concitoyens et nuisent à nos efforts pour poursuivre les réformes", a affirmé Ahmet Davutoglu dans une tribune publiée dans le principal quotidien suédois, le jour où il devait rencontrer à Stockholm ses homologues de l'Union européenne.

La Suède assure jusqu'à la fin de l'année la présidence tournante de l'UE.

Selon M. Davutoglu, la Turquie a accompli des réformes "impensables il y a encore quelques années".

Il a cité la liberté religieuse ou d'expression, l'abolition de la peine de mort ou l'autorisation d'émissions de radio en kurde, "une révolution silencieuse" à laquelle les critiques de l'adhésion de la Turquie ne font que nuire.

"La Suède pense comme nous que l'Europe ne pourrait jamais être une entité forte et solidaire tant que la Turquie reste en dehors de l'UE", souligne le ministre turc des Affaires étrangères dans ce texte publié par le journal Dagens Nyheter.

"C'est pourquoi le soutien de pays comme la Suède, avec leur attitude objective et encourageante, a une grande importance dans le processus", poursuit M. Davutoglu.

La Suède est depuis longtemps en faveur d'une adhésion d'Ankara à l'UE.

Mais les négociations, ouvertes en 2005, piétinent. Plusieurs pays européens, comme la France, l'Allemagne et l'Autriche, sont opposés à une adhésion et plaident à la place pour "un partenariat privilégié".

Le chef de la diplomatie française a réitéré la position française en la matière à Stockholm.

Interrogé sur le soutien de la Suède à l'adhésion de l'UE, M. Kouchner a répondu que "d'autres (pays de l'UE) y sont opposés".

"Pour le moment, nous ouvrons chapitre après chapitre" dans les négociations, "mais cela va prendre du temps", a-t-il dit.

"Ils (les Turcs) ne sont pas les premiers sur la liste. Nous avons tous les Balkans occidentaux à faire entrer (dans l'UE) et c'est nécessaire", a-t-il ajouté.

Une rencontre était prévue samedi à Stockholm entre les ministres français et turc des Affaires étrangères en marge de la réunion de Stockholm.

Paris a accepté de poursuivre les négociations avec la Turquie sur les 30 chapitres jalonnant les discussions que la France considère comme compatibles avec une issue alternative à l'adhésiond'Ankara.

En revanche, la France entend laisser de côté les cinq chapitres qui relèvent directement de la logique d'adhésion.

Les divergences sur le sujet entre la France et la Suède avaient été à l'origine d'un report en juin d'une visite prévue du président français Nicolas Sarkozy à Stockholm.

Selon des diplomates, Paris n'avait alors guère apprécié une interview accordée peu avant par le chef de la diplomatie suédoise Carl Bildt au quotidien français Le Figaro, dans laquelle il réaffirmait l'appui de son pays à une adhésion de la Turquie.


*
>>> Q A
Les fantômes de la "saison turque"

Ara Toranian – Le Monde 05/09/2009

Après tout, qui se souvient du massacre des Arméniens ?", lançait Hitler aux commandants en chef de l'armée allemande le 22 août 1939, quelques jours avant l'invasion de la Pologne. Cette question terrible pourrait être posée à Culturesfrance, l'opérateur délégué des ministères des affaires étrangères et de la culture chargé de la saison turque en France (juillet 2009-mars 2010).

En effet, on cherchera en vain à l'affiche de cet événement, qui revendique plus de 400 manifestations et débats sur la Turquie, la moindre allusion au premier génocide du XXe siècle. Ce silence est trop systématique pour ne pas être suspecté de complaisance envers les pires turpitudes de l'Etat turc. Il questionne d'autant plus que ce crime sur lequel s'est construite la Turquie moderne fait l'objet d'un négationnisme officiel contre lequel ont réagi près d'une trentaine de pays dans le monde (dont la France en 2001) en reconnaissant le génocide des Arméniens.

Ce black-out contraste en outre avec le début de prise de conscience qui est en train de s'opérer dans ce pays à la faveur d'une pétition lancée par quatre intellectuels turcs, qui, tout en contournant le mot génocide (dont l'emploi est susceptible de poursuites avec l'article 301 du code pénal), demandent "pardon" aux Arméniens. Alors pourquoi ce mutisme à contre-courant, alors que, par ailleurs, les initiateurs de cette pétition sont mis à contribution, sur d'autres thématiques, dans les différents débats qui émaillent la saison turque ?

Faut-il en déduire que Culturesfrance instrumentalise cette partie "présentable et exportable" de l'intelligentsia du pays pour offrir au public français l'image d'une Turquie moderne et sans tache ? Mais que parallèlement elle a fait sien le "tabou arménien" entretenu comme un abcès de fixation par l'Etat turc nationaliste et réactionnaire ? Une approche qui va contre le sens de l'histoire, à l'heure où les dirigeants turcs, tenant compte de la pression internationale et de la promesse (menace) de Barack Obama de faire reconnaître à son tour le génocide par les Etats-Unis, viennent d'accepter de créer avec l'Arménie, dans une tentative de normalisation, une "commission à dimension historique".

Ainsi, l'amnésie organisée de cette saison, qui va jusqu'à l'effacement des caractéristiques arméniennes de la Turquie, maltraite ici une culture qui souffre déjà de discrimination là-bas. Cette attitude n'honore guère les valeurs de la patrie de Descartes et des droits de l'homme.

Mais l'objectif revendiqué de cette saison, qui intervient dans la foulée de l'Année de l'Arménie (juillet 2006-2007), comme une tentative maladroite de compensation, demeure loin de ce type de considérations. Cette saison ne vise-t-elle pas surtout à restaurer l'image d'une Turquie noircie par le génocide, le négationnisme, l'oppression de ses minorités, les bombardements contre les Kurdes, l'occupation de Chypre et un blocus impitoyable sur l'Arménie ? Une Turquie que les dirigeants actuels essayent tant bien que mal de libérer de quatre-vingt-dix ans de kémalo-fascisme pour y substituer un "islamisme modéré et tolérant" et dont les tentatives ne seront pas favorisées par les faiblesses de Culturesfrance envers les péchés du nationalisme turc.

Dans son article de présentation ("La longue marche vers l'Occident"), le site Internet de la saison turque caviarde encore les cadavres des minorités chrétiennes qui jonchent cette "longue marche". Les évoquer serait montrer que cet Etat, qui a pour ambition d'intégrer l'UE, a commencé par tuer ce qu'il y avait de plus européen en lui, en termes culturel, sociétal et religieux. Mieux vaut donc taire cet aspect des choses qui cadre mal avec les clichés utilisés par Ankara pour fustiger, au nom de la diversité, le "club chrétien " que serait l'Europe et pour incarner, la main sur le coeur, le droit à la différence ! Un comble.

*
>>>
Baroques d'ici et d'Orient

François DELÉTRAZ – Le Figaro 04/09/2009

Le mélange des genres musicaux est un art prisé par les créateurs. Après le succès de Mozart l'Egyptien, Paris découvrira bientôt la nouvelle comédie musicale Mozart, l'opéra rock. Mais c'est de Sablé-sur-Sarthe qu'est venue la surprise. A l'occasion de l'année de la Turquie en France, la 31e édition de ce festival baroque a voulu saluer la fascination de l'Occident pour l'Orient au XVIIe siècle. Chimène Seymen, une musicologue originaire d'Izmir qui vit aujourd'hui en France, a voulu mêler au sein d'un même spectacle les musiques de ces deux contrées, à l'époque où elles se découvraient l'une l'autre. Le résultat est étonnant.

Si les premières minutes de Müsennâ peuvent paraître un peu longues, la subtilité du mélange des genres l'emporte très vite. Nous voici à Istanbul, où des émissaires de Louis XIV sont venus à la rencontre de sommités ottomanes. Sur scène, à jardin, l'ensemble baroque français La Turchescha ; à cour, un ensemble venu de Turquie, Cevher-i Musiki. D'un côté, une harpe qui répond au luth avec délicatesse ; de l'autre, un santour (sorte de cithare) en plein dialogue avec un ney (flûte en roseau). Sur le plateau, un mélange de danses, les petits pas de cour faisant face à des danses traditionnelles turques. Une histoire joliment contée avec ce que l'on suppose être l'accent de l'époque. Un extrait du Cocu imaginaire de Molière, de grandes marionnettes semblant venues de l'île de Pâques, des ombres chinoises. On se parle, on s'interpelle, on fait même quelques acrobaties, et pendant une heure trente, on passe de Monteverdi au miroir du Levant, d'un air de danse d'Anatolie à une sarabande. Tout cela se marie merveilleusement, comme si, à la même époque, en dépit des distances et des cultures, les compositeurs et les artistes évoluaient dans une même communauté d'influences. Un moment hors du temps, très réconfortant.

*
>>>
Discussions entre Turquie, Syrie et Irak sur les ressources en eau de l'Euphrate et du Tigre

Xinhua – 04/09/2009

Les ministres de l'Environnement, de l'Eau et de l'Irrigation de Turquie, d'Irak et de Syrie se sont réunis jeudi à Ankara pour discuter de la gestion des ressources en eau des fleuves de l'Euphrate et du Tigre, a rapporté l'agence Anatolie.

Le ministre turc de l'Environnement Veysel Eroglu, le ministre Irakien des Ressources en eau Latif Jamal Rachid et le ministre syrien de l'Irrigation Nader al-Bounni ont participé à cette réunion.

À l'ouverture de cette réunion, M. Eroglu a annoncé que la Turquie avait, au risque de baisser sa production d'énergie, libéré de l'eau du barrage d'Ataturl sur l'Euphrate afin d'aider ses voisins irakien et syrien à faire face à leurs problèmes d' alimentation en eau.

La Turquie, l'Irak et la Syrie subissent l'impact négatif du réchauffement climatique, et d'années de sécheresse depuis 2006, a- t-il indiqué, ajoutant que la Turquie avait sacrifié sa capacité de génération d'énergie pour épargner à l'Irak et à la Syrie une pénurie d'eau.

Au cours des trois dernières années, les précipitations ont baissé de 46 pourcent sur les bassins du Tigre et de l'Euphrate dans le sud-est de la Turquie, a-t-il rappelé, précisant que le niveau des eaux au barrage d'Ataturk avait « chuté de 10 pourcent ».

Pour sa part, M. Rachid a indiqué que son pays souffrait d'une sécheresse grave depuis plusieurs années, ajoutant que la capacité de stockage en eau de l'Irak diminuait également d'année en année.

L'Irak est confrontée à une migration massive, en particulier depuis les régions sud du pays, en raison de la sécheresse et de la baisse du niveau du Tigre et de l'Euphrate.

M. al-Bounni a pour sa part déclaré que son pays comprenait le besoin de davantage d'eau de l'Irak.

« La Syrie et l'Irak manquent cruellement d'eau mais l'Irak est encore plus exposé », a dit M. al-Bounni.

L'Irak « sait très bien que nos barrages sont vides et que nous avons des besoins humains », a-t-il observé.

L'Irak, la Turquie et la Syrie connaissent depuis longtemps des litiges autour de leurs ressources en eau. L'Irak a accusé la Turquie et la Syrie d'étouffer le Tigre et l'Euphrate en construisant des barrages qui entravent le flux des eaux.

L'année dernière, la Turquie, la Syrie et l'Irak ont décidé d' enterrer la hache de guerre sur cette question pour collaborer en créant un institut destiné à chercher une solution à leurs problèmes communs liés à l'eau.

Toutefois, le Parlement irakien a adopté en mai une loi contraignant le gouvernement à demander une part plus importantes de ressources en eau de ses voisins situés en amont de ses fleuves essentiels, à savoir la Turquie, l'Iran et la Syrie, dans le cadre de ses tractations bilatérales avec eux.



*
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La Turquie lance un appel pour le soutien de sa candidature à l'Union européenne

Xinhua – 04/09/2009

Le négociateur en chef de la Turquie pour son entrée à l'Union européeenne (UE) a déclaré jeudi qu'il a tenté d'éliminer les préoccupations relatives au statut de la Turquie en tant que membre à part entière de l'UE lors de sa récente visite en Autriche.

A son retour de Vienne, le ministre d'Etat turc et principal négociateur, Egemen Bagis, a organisé une conférence de presse à l'Aéroport Ataturk d'Istanbul.

Parlant de ses négociations, Bagis a indiqué qu'il appelait le monde des affaires autrichien à transformer son soutien silencieux à la Turquie en une position plus intelligible.

Bagis a affirmé avoir eu une rencontre fructueuse avec le ministre autrichien des Affaires internationales et européennes, Michael Spindelegger, une rencontre au cours de laquelle ils ont discuté des reformes menées en Turquie, de la détermination turque à entrer à l'Union européenne et des derniers développements concernant le projet Nabucco.

Dans un important discours prononcé devant un groupe restreint de décideurs européens à l'occasion du Forum européen d'Alpbach -- une rencontre des fortes personnalités du type Davos organisée annuellement dans la ville de vacances autrichienne d'Alpbach, Bagis a invité les Etats membres de l'UE à être juste lorsqu'il s'agit de traiter de l'entrée de la Turquie au sein du bloc.

"Nous ne voulons pas un traitement spécial, mais plutôt une approche égale et juste pour les négociations actuelles," a-t-il déclaré selon l'agence de presse Anatolie.

Il a mis l'accent sur le fait que son pays ne deviendra pas une charge pour l'union mais qu'il enlèvera plutôt un certain fardeau, soulignant le fait que la Turqie --avec une population jeune et dynamique -- est l'une des économies ayant le taux de croissance le plus rapide dans le monde et est devenu un acteur important dans plusieurs questions allant de l'énergie à la sécurité.

La Turquie a commencé les négociations pour son accession à l'UE en octobre 2005.

Pays majoritairement musulman, l'entrée de la Turquie au sein de l'UE rencontre depuis une décennie une opposition de la part des pays tels que la France et l'Autriche.

Le bloc des 27 a demandé à la Turquie d'effectuer des réformes juridiques supplémentaires, sur la lutte contre la corruption et la protection des droits des citoyens.


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Southstream & Nabucco

ANKARA (NOVOpress) – 04/09/2009
Pour amener son gaz en Europe, la Russie a un objectif stratégique : éviter l’Ukraine. Pour recevoir le gaz d’Asie centrale, l’Union Européenne a un objectif stratégique : éviter la Russie. A noter que la Russie peut aussi vendre son gaz à la Chine, mais diversifier les clients est aussi stratégique que diversifier ses fournisseurs…
La Pologne ayant refusé – sous l’amicale pression de Washington et peut être provisoirement – le passage d’un nouveau gazoduc venant de Russie, cette dernière a conçu un gazoduc sud appelé « Southstream» abordant l’UE en Bulgarie après passage sous la Mer Noire. Elle s’est pour cela associé à un consortium italien mais surtout elle a d’abord passé les contrats d’approvisionnement et de débouché du tuyau, dont on est donc certain aujourd’hui qu’il sera utilisé….
Fort fâchés, les USA et l’UE ont donc, beaucoup plus récemment, conçu le projet rival « Nabucco» , en accord avec la Turquie que le tuyau parcourt dans toute sa longueur. Les financements de « Nabucco» tombent en Turquie de toutes parts. Mais le problème de « Nabucco» , c’est que « Southsream» a quasiment asséché la future clientèle de « Nabucco» , dont la rentabilité de l’investissement devient fort aléatoire.
En donnant à la Russie l’autorisation de faire passer « Southstream» sous les eaux turques de la Mer Noire, la Turquie poignarde « Nabucco» dont elle s’est peut être rendu compte de son utilité économique fort douteuse. Et elle touchera un droit de passage sur chaque m3 de « Southstream» , mais sans réel « pouvoir de coupure» . Evidemment la Turquie a joué un double jeu – tout comme l’Italie – mais il n’y a que les imbéciles pour prendre Erdogan et Berlusconi pour des simplets.
On peut toutefois penser que les USA et l’UE continueront à financer et réaliser « Nabucco» : même s’il est vide, sa simple présence permettra d’expliquer aux bons peuples européens, auxquels on évitera de parler de son inutilité, qu’il leur est indispensable et qu’en conséquence la Turquie doit entrer dans l’UE. Et ça, ça n’a pas de prix…
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