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Actualité du 02 & 03.09.2009

 
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MessagePosté le: 03 Sep 2009 14:48    Sujet du message: Actualité du 02 & 03.09.2009 Répondre en citant

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Réunion Turquie-Syrie-Irak sur l'eau à Ankara
AFP - 03/09/2009

ANKARA - Les ministres turc, syrien et irakien chargés du dossier de l'eau se sont retrouvés à Ankara pour discuter notamment du partage des ressources hydrauliques de l'Euphrate et du Tigre.
Ankara a d'ores et déjà indiqué qu'elle ne pouvait en principe fournir plus d'eau à ses voisins en raison de ses besoins hydrauliques.

Long de 2.800 km, l'Euphrate prend sa source en Turquie et traverse la Syrie et l'Irak.

Depuis des années, Bagdad et surtout Damas demandent un partage plus équitable, accusant Ankara de lui rationner l'eau, surtout pendant l'été, en raison du gigantesque projet GAP d'irrigation et de construction de barrages sur l'Euphrate et le Tigre pour développer le sud-est anatolien.
Aux termes d'un accord, la Turquie accepte de laisser s'écouler une moyenne annuelle de 500 m3 par seconde des eaux de l'Euphrate vers la Syrie.

"La Turquie laisse couler actuellement en moyenne un peu plus que ce débit. Nous reconnaissons que l'Irak et la Syrie ont besoin d'eau (...) mais nous ne sommes pas non plus riches en eau. De ce fait, nous ne pouvons dépasser d'une façon considérable ce débit qui est très convenable", a indiqué aux journalistes le ministre turc de l'Energie et des ressources naturelles, Taner Yildiz, avant le début de la réunion.

Le ministre turc de l'Environnement, Veysel Eroglu, le ministre syrien de l'Irrigation, Nader Bounni, et le ministre irakien des Ressources hydrauliques, Latif Rachid, doivent se pencher sur la "supervision saisonnière de l'eau laissée (à la Syrie et l'Irak) depuis l'Euphrate et la sécheresse", selon un communiqué des services de M. Eroglu.

Les parties doivent aussi discuter en présence d'experts des trois pays de l'installation sur certains points de ces deux fleuves de stations communes de relevage hydrauliques.

Le ministre syrien avait récemment souligné que les trois pays discuteront à Ankara de "la sécheresse qui sévit dans la région et des besoins en eau de la Syrie et de l'Irak".

En juillet, l'Irak, qui fait face à une importante sécheresse, avait réclamé une réunion urgente avec la Syrie et la Turquie après la chute de moitié du débit de l'Euphrate

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>>> PF
Turquie-Arménie : la diplomatie du football

Les Echos - 03/09/2009

Après la diplomatie du ping-pong, celle du football. Après près d'un siècle d'animosité, écrit « Hürriyet », la Turquie et l'Arménie se sont mises d'accord pour restaurer leurs relations diplomatiques et rouvrir leur frontière. Des protocoles d'accord devraient être ainsi signés d'ici à six semaines. Ce« mouvement historique » tombe à pic. Car, souligne le quotidien turc, il devrait permettre au président arménien, Serge Sarkisian, de se rendre en Turquie pour le match avec l'Arménie dans le cadre des qualifications à la Coupe du monde 2010 de football.

Déjà en septembre 2008 à l'occasion d'un autre match entre les équipes nationales, le président turc, Abdullah Gül, s'était rendu en Arménie.
Le journal ne cache cependant pas que des incertitudes demeurent. Le conflit sur le Nagorny Karabakh reste un obstacle. En soutien à Bakou, Ankara avait décidé de fermer en 1993 sa frontière avec l'Arménie, qui avait envahi cette enclave peuplée d'Arméniens mais située en Azerbaïdjan.

Le journal « Vatan » note, pour sa part, que, si l'Occident - Union européenne, Etats-Unis - a accueilli avec satisfaction l'accord turco-arménien, « il a provoqué des inquiétudes en Azerbaïdjan », mais aussi de l'opposition en Turquie. Outre les deux projets de protocole, souligne « Hürriyet », les deux pays ont accepté de mettre sur pied une commission « pour examiner le dossier des assassinats de masse qui ont eu lieu pendant la période de la Première Guerre mondiale ».Les massacres et déportations d'Arméniens ont fait plus d'un million et demi de morts, selon les Arméniens, de 300.000 à 500.000 selon la Turquie, qui récuse la notion de génocide, reconnu notamment par la France.


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Voleyball : Les Français en outsiders à l'Euro en Turquie

Charente Libre - 03.09.2009

Entre les joueurs appelés à la dernière minute pour pallier les blessures et ceux qui ont passé l'été à se soigner, comme le capitaine Oliver Kieffer, un gros tiers des volleyeurs français convoqués en Turquie n'a été présent que par intermittence pendant la période de rodage. «C'était une préparation un peu étrange. On sait qu'on n'est pas forcément prêt en configuration de match. C'est un petit challenge en plus», reconnaît l'attaquant Guillaume Samica, lui-même absent de la campagne de Ligue mondiale à cause d'un problème à l'épaule.

La plus grosse inquiétude concerne le poste de passeur. Après le forfait du titulaire Pierre Pujol, victime d'une entorse à la cheville, le sélectionneur Philippe Blain s'est retrouvé coincé par la promesse qu'il avait faite de longue date à Loïc Le Marrec de le laisser prendre sa retraite internationale une fois acquise, mi-août, la qualification pour le Championnat du monde 2010.

Le Tourangeau n'ayant pas été inscrit sur la liste des sélectionnables, il a fallu faire appel à deux joueurs totalement dépourvus d'expérience internationale, le Parisien Yannick Bazin et le Toulousain Toafa Takaniko, pour tenir ce poste stratégique.

Dans ces conditions, les Bleus sont contraints à la modestie et osent à peine rêver de s'immiscer parmi les favoris pour le podium: la Serbie, la Russie, voire la Bulgarie, l'Italie et la Pologne, qui par chance sont tous de l'autre côté du tableau, à part les Polonais.

«J'aimerais que la France ressemble à l'Espagne d'il y a deux ans, dit Samica. Une équipe soudée, qui s'arrache sur tous les ballons et profite de ses atouts.»

L'équipe ibérique avait décroché le titre. Les Tricolores, eux, se contenteraient d'un billet direct pour l'Euro 2011 en finissant parmi les six premiers. Pour y parvenir, il faudra d'abord sortir d'une première phase de poule avec comme adversaire la Pologne (aujourd'hui), l'Allemagne (samedi) et la Turquie (dimanche), la difficulté allant décroissant.

Un succès sur le pays hôte devrait suffire pour passer à la seconde phase à six équipes, mais pour entretenir un espoir de demi-finales, il faudra aussi battre l'un des deux gros.


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Les efforts turcs aident à atténuer les tensions syro-irakiennes

Xinhua - 03/09/2009

L ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Abul Gheit, a déclaré mercredi que les efforts turcs aideront à réduire les tensions entre la Syrie et l'Irak survenues après de récents attentats à la bombe à Bagdad.

Lors d'une conférence de presse donnée à l'issue d'une rencontre avec son homologue turc, Ahmet Davutoglu, M. Abul Gheit a indiqué que les relations entre la Syrie et l'Irak étaient très importantes, ajoutant que les efforts turcs et égyptiens aideront les deux parties à contrôler la situation.

Il a souligné que l'Egypte accueille favorablement tous les efforts turcs au Moyen-Orient, car la Turquie fait partie de cette région et tout effort déployé par la Turquie sera salué par l'Egypte.

Les deux ministres des Affaires étrangères ont discuté d'un large éventail de questions dont le Liban et les dernières avancées sur les efforts de paix entre Israéliens et Palestiniens.

La Turquie a entamé lundi matin une tentative de médiation en vue d'atténuer les tensions survenues récemment entre l'Irak et la Syrie après des attentats à la bombe en Irak.

M. Davutoglu est arrivé à Bagdad le même jour pour effectuer une visite officielle destinée à apaiser les tensions entre l'Irak et la Syrie après les allégations de Bagdad, selon lesquelles Damas abrite les insurgés responsables des attentats à la voiture piégée à Bagdad.

Le ministre syrien des Affaires étrangères a expliqué mercredi sa position sur la crise syro-irakienne, en affirmant que la Syrie souhaite voir la sécurité et la stabilité de l'Irak.


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>>> ET
Russie : crise économique et vente de gaz tous azimuts

agoravox.fr - 03/09/2009

Pami les pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui se remettent plutôt bien de la crise financière au point qu’ils sont devenus les leaders de l’économie mondiale , il y en a un, la Russie, qui au contraire continue à s’enfoncer dans la crise. Son PIB est en baisse de 9.8 % au premier trimestre 2009 et, pire encore, de 10.9 pct au second. Les emprunts bancaire aux particuliers semblent sous contrôle par contre ceux aux entreprises sont sujets à de grandes craintes de défaillance (25pct !) pour le dernier trimestre 2009.

Par contre le budget russe, qui avait pour particularité surprenante pour nous, français, d’être excédentaire depuis 10 ans, est passé pour cause de plan de relance dans le rouge foncé. Son déficit est estimé atteindre 9.4 pct du PIB cette année à la suite du quadruplement sur quatre ans de la dépense publique fédérale. Le tout pour un plan de relance qui n’a pas vraiment marché et dont le meilleur résultat est d’avoir réussi à limiter la baisse de la consommation aux alentours de 6.5 %.

Or les entreprises russes doivent rembourser 137 milliards de dollars au second semestre pour lesquelles elles auront beaucoup de mal à trouver un refinancement. Par ailleurs le rouble déjà fortement déprécié au dernier trimestre 2008 est toujours sous pression et les 160 milliards de dollars qui sont sortis du pays depuis le dernier trimestre 2008, ne sont pas prêt d’y revenir. Ce qu’il manque, paraît-il, par rapport aux autres membres du BRIC, ce sont des capitaux étrangers pour y investir. Or Vladimir Poutine, dans un domaine, l’énergie, pour lequel il serait possible d’attirer de tels investissements vient au contraire de dénoncer publiquement la "Charte de l’Energie" qui assurait une certaine sécurité aux investisseurs dans le domaine des hydrocarbures. Même si les évènements pétroliers de ces dernières années ont montré le peu de cas que faisait Poutine des contrats existants, c’est une inquiétude de plus qui ne peut que repousser l’arrivée de nouveaux investisseurs. C’est désormais acquis que le pétrole et le gaz russes sont réservés aux compagnies russes.

Que faire pour rééquilibrer les comptes et l’activité économique dans un pays dépendant des hydrocarbures pour un bon tiers de ses rentrées fiscales ? Espérer dans une hausse qui se redessine du prix des hydrocarbures et pousser les ventes de gaz et de pétrole.
Au nord et à l’ouest, tout va bien. Le Gazoduc Nordstream qui alimentera l’Allemagne et d’autres pays d’Europe de l’Ouest dont désormais la France, suite à l’entrée de GDFSuez à son capital, poursuit sa route sous la Baltique. Au sud, on assiste à une concurrence frontale entre le gazoduc dit South Stream qui est prévu pour alimenter les balkans, l’Europe centrale et jusqu’à l’Italie, puisqu’il s’agit d’une coproduction Gazprom-ENI, et son concurrent Nabucco poussé par l’Union Européenne pour diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz. Vladimir Poutine vient de marquer un point important en allant signer à Ankara un protocole d’accord avec la Turquie pour permettre à Southstream de passer au fond de la mer Noire dans les eaux territoriales turques. Et ces quelques semaines après la signature en grande pompe par la Turquie de l’accord de consortium européen pour le lancement de Nabucco ! Et en plus en présence de Silvio Berlusconi.

Un double jeu qui s’explique par le fait que la Turquie est aussi le troisième importateur de gaz russe après l’Allemagne et l’Italie et que cette source d’énergie lui est indispensable. Sans compter que les droits de passage de ces deux gazoducs seront un appoint non négligeable pour le budget turc. Reste que cet accord renforce la prééminence de l’approvisionnement en gaz de l’Europe par ou via la Russie et Southstream au détriment de Nabucco dont on ne sait pas bien comment et avec quel producteur on pourra l’alimenter. Ukraine, Biélorussie ou Géorgie, notez bien que l’Union Européenne est dans les griffes russes pour une bonne part de son approvisionnement énergétique !

A l’est, après le gazoduc en construction pour alimenter le Japon, la Russie a signé ( enfin) un contrat de fourniture de 30milliards de m3 de gaz à partir de 2011 pour la Chine et vient de donner le premier coup de pioche en présence de Vladimir Poutine d’un autre gazoduc de 1350 km pour amener le gaz des gisements gaziers de l’ile de Sakhaline à l’extrême est de la Russie vers le sud c’est-à-dire Kahbarovsk d’où doit partir une branche à vocation d’approvisionnement interne de l’extrême orient russe et vers le port de Vladivostok d’où il sera exporté vers d’autres marchés. Corée du sud, Japon voire même les Etats Unis puisque l’opérateur de Sakhaline est le groupe ExxonMobil
Dans un autre domaine, celui de la distribution, Gazprom a trouvé un accord avec la compagnie nationale autrichienne OMV pour accroître considérablement le dépôt gazier de Baumgarten au sud de vienne qui appartenait à OMV pour en faire un énorme dépôt de stockage appelé Plateforme gazière de Transit Centreeuropéenne, CEGH, qui servira de référence pour la fixation des prix du gaz dans la zone.

Même topo en Hongrie ou Gazprom négocie avec la compagnie nationale MOL la construction d’un très gros dépot gazier. Tout ceci pour assurer certes la stabilité de l’approvisionnement gazier de l’Europe centrale mais au prix d’une dépendance considérable de l’Europe vis-à-vis de la Russie. Que se passera-t-il le jour où la Russie décidera, unilatéralement de doubler le prix de son gaz ?

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>>> PF
Un réchauffement diplomatique qui rassure

Alda Engoïan, Pierre Vanrie - Le Courrier International - 02/09/2009

Le rapprochement entre les deux pays a été salué par les Etats-Unis et le reste de la communauté internationale. Dans la presse locale ainsi que dans les journaux azéris, on commente avec un optimisme mesuré cette avancée historique.

D'ici six semaines, l’Arménie et la Turquie signeront le protocole d’établissement de relations diplomatiques", rapporte le journal en ligne arménien Respoublika Armenia. Deux mois après l’entrée en vigueur du protocole, la frontière entre les deux pays, fermée depuis 1993 en raison du conflit territorial arméno-azerbaïdjanais du Haut-Karabakh, république séparatiste azerbaïdjanaise à majorité arménienne, sera ouverte.

La décision a été saluée unanimement par Washington, Moscou et Paris. Pour le journal en ligne moscoviteGazeta.ru, le plus important est que cette avancée diplomatique ait été réalisée “sans aucune condition préalable à l'adresse de l’Arménie”. Selon le webzine arménien Voskanapat.info, le document signé arrange en premier lieu la Turquie, qui “cherche à en tirer le plus de dividendes politiques possible. Ainsi, elle noie le problème de la reconnaissance du génocide, s’affirme sur ses frontières orientales [ancien territoire arménien] et améliore ses relations avec l’Union européenne, à laquelle elle aspire à intégrer depuis si longtemps, et les Etats-Unis.”

Quant à l’Azerbaïdjan, qui comptait beaucoup sur la Turquie pour recouvrer sa souveraineté sur le Haut-Karabakh, il a fait connaître, par la voix de son ministère des Affaires étrangères, son inquiétude. "Il faut s’attendre à une détérioration des relations turco-azerbaïdjanaises", estime Voskanapat.info.

Plus lucide sur cette évolution des relations turco-arméniennes, le grand éditorialiste turc Mehmet Ali Birand souligne dans Posta Gazetesi que "la politique d’ouverture vers l’Arménie avait commencé à se manifester fin 2008, début 2009. Les rencontres organisées grâce à la médiation suisse avaient abouti à un protocole. Mais, juste au moment où son contenu devait être explicité, les Azéris avaient protesté. Le président de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliev, avait réagi avec une telle violence que l’affaire fut finalement renvoyée à plus tard. La situation est différente aujourd’hui. Aliev semble désormais avoir admis que les pourparlers évoluent dans ce sens même s’il exprime encore son opposition dès lors que l’on aborde la question de l’ouverture des frontières entre la Turquie et l’Arménie. En effet, les Azéris lient l’ouverture de cette frontière à la résolution de la question du Haut-Karabakh. Les Arméniens, quant à eux, insistent pour que le dialogue avec la Turquie ne soit pas lié au contentieux sur le Haut-Karabakh. Laissons les Parlements turc et arménien en débattre, laissons la possibilité qu'une normalisation des relations avec l’Arménie fasse son chemin dans l’opinion. Voyons comment les Arméniens appréhenderont également cette normalisation et alors nous pourrons prendre notre décision."

Toujours dans la presse turque, le quotidien islamiste modéré Yeni Safak explique en effet qu’"une durée de six semaines a été prévue pour que l’opinion se prépare avant que les Parlements ne s’impliquent.

Cette période correspond également au temps nécessaire pour que le président d'Arménie, Serj Sarkissian, se prépare à venir en Turquie pour assister au match de football Turquie-Arménie [qui aura lieu le 14 octobre 2009]. La réalisation d’une telle visite sera un test pour juger du niveau de confiance entre les deux partenaires. Le consensus obtenu ces derniers jours et le processus qu’il relance comporte néanmoins des risques", estime pour sa part Sami Kohen dans Milliyet. “Ces risques sont dus en grande partie à la situation particulière de l’Arménie (le gouvernement Sarkissian s’avère fragile). En effet, l’opposition et en particulier l'organisation nationaliste Tashnak sont déjà sur les dents. Des réactions très négatives se manifestent également du côté de la diaspora arménienne. Dans ces conditions, Erevan sera-t-il en mesure d’appliquer les points du protocole conclu entre les deux pays ?

En Turquie, l'opposition s’est clairement exprimée contre ce protocole. Nul doute que le gouvernement Erdogan éprouvera des difficultés à le défendre au Parlement, en particulier lorsqu’il s’agira d’avancer sur le dossier de l’ouverture de la frontière turco-arménienne. Toutefois, le plus grand risque – et le plus grand danger – consisterait à placer trop haut les attentes liées à cette normalisation et, pour certains leaders politiques, à succomber à un discours dominé par l’invective. Pour que ce processus puisse évoluer favorablement, il convient d’éviter ces deux écueils.

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Istanbul abritera la réunion annuelle 2009 du FMI et de la Banque mondiale

Xinhua - 02/09/2009

La plus grande ville turque, Istanboul, abritera la réunion annuelle 2009 du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale, et des réunions auxiliaires, du 28 septembre au 7 octobre.

La réunion, qui se tiendra à un moment crucial de la crise économique globale, doit attirer 13. 000 personnes, dont des gouverneurs de banques centrales et des ministres des Finances, a rapporté mardi le journal Daily News.

Selon la source, les participants à la réunion 2009 comprennent le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn, George Soros et le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz.

Le gouverneur de la banque d'Israël Stanley Fischer et le gouverneur de la banque centrale turque Durmus Yilmaz participeront à la réunion.

Dans le cadre de la réunion annuelle, un forum se déroulera du 3 au 5 octobre, dont plus de 15 sessions sur des sujets variés, tels que la crise économique globale et les réponses politiques, l'Europe émergente et l'Asie centrale, ainsi que l'avenir du système financier international.

La réunion annuelle du FMI et de la Banque mondiale doit débattre chaque année des questions d'intérêt global, telles que les perspectives économiques mondiales, l'éradication de la pauvreté et le développement économique.

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Le Premier ministre turc appelle à une coopération internationale contre le terrorisme

Xinhua - 02/09/2009

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a invité la communauté internationale mardi à coopérer pleinement dans la lutte contre le terrorisme.

Dans son message délivré à l'occasion de la Journée internationale de la paix, Erdogan a indiqué que le terrorisme est devenu un trouble mondial, et tout le monde devrait tout faire pour établir la paix et la justice dans le monde.


"A l'occasion de la Journée internationale de la paix, le jour où les êtres humains ont exprimé leur soif pour un monde de paix, il faut insister sur la nécessité d'une coopération et d'une solidarité internationales contre le terrorisme," a indiqué Erdogan.

Les propos du Premier ministre interviennent alors que les forces de sécurité turques sont régulièrement engagées dans des affrontements avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui est classé comme une organisation terroriste par Ankara et la majeure partie de la communauté internationale.

Créé en 1978, le PKK a pris les armes en 1984 pour établir un Etat kurde dans le sud-est de la Turquie. Quelque 40.000 personnes ont été tuées dans des conflits ces deux dernières décennies.

Les forces armées turques ont pris des mesures plus fortes contre le PKK suite au mandat que le parlement du pays a confié au gouvernement pour lancer des opérations transfrontalières contre les rebelles dans le nord de l'Irak en octobre 2007 et le prolongement de la dite mesure en 2008.

Le 28 septembre 2001, l'Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution fixant le 21 septembre pour la commémoration de la Journée internationale de la paix chaque année. Cette résolution est appliquée depuis septembre 2002.


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Pétrolier turc arraisonné en Abkhazie: l'armateur fait appel

www.rian.ru - 02/09/2009

ANKARA, 2 septembre - RIA Novosti. La société armatrice du pétrolier turc arraisonné au large de l'Abkhazie a fait appel du jugement rendu lundi par un tribunal géorgien, a annoncé aux journalistes le PDG de la société Hussein San.

Le tribunal a condamné le citoyen turc, capitaine du cargo Buket, à 24 ans de prison et ordonné la saisie du navire au profit de l'Etat géorgien.
Selon M. San, l'appel ayant été déposé mardi, la réponse sera donnée dans un délai de 30 jours.

Le tribunal géorgien a également décidé de relâcher l'équipage du navire comprenant des marins turcs et azerbaïdjanais sous une caution de 30.000 dollars.

Tbilissi ne reconnaît pas la souveraineté territoriale de l'Abkhazie et considère le transport non autorisé de cargaisons par mer vers Soukhoumi comme une violation de la législation géorgienne.


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Istanbul Europa Race : Foncia prend le relais

Guillaume Loisy / Sport24.com - 02/09/2009

Michel Desjoyeaux et son équipage ont ravi la première place de l'Istanbul Europa Race à Groupe Bel de Kito De Pavant. La victoire à Nice devrait se jouer entre les trois premiers qui se tiennent en moins de 8 milles.

Le point sur la course :
Même Kito De Pavant, pourtant rompu aux caprices de la Grande Bleue, ne l'avait pas vu venir. En tête depuis la sortie des Dardanelles dimanche, le skipper méditerranéen et son équipage se sont fait piéger par Eole. Alors qu'il pensait bénéficier d'un bon vent de Nord en passant le cap Tainaron (pointe sud du Péloponnèse), Groupe Bel s'est retrouvé scotché dans la pétole. Une aubaine pour la concurrence qui n'a pas mis longtemps à larguer La Vache qui Rit. Profitant d'une dizaine de nœuds de vent, Michel Desjoyeaux et Foncia reprenaient ainsi le flambeau direction la Sicile. Passés plus près de la Crète, 1876 et Paprec Virbac 2 récoltaient eux aussi les fruits de l'option sud pour suivre le sillage tracé par Foncia. Mais mardi matin, Groupe Bel semblait avoir fini de manger son pain noir avec une belle vitesse de croisière (13,5 nœuds) lui permettant de reprendre la deuxième place à 1876. Mieux, au pointage de midi, De Pavant et son équipage ne comptaient plus que 4,5 milles de retard sur Foncia. A 7,5 milles du leader, 1876 peut aussi espérer griller la politesse à ses prédécesseurs. Ce sera difficile en revanche pour Paprec Virbac 2, relégué à 38,5 milles tout au Sud. Mais la Méditerranée réserve peut-être encore des surprises d'ici l'arrivée dans la Baie des Anges.

Ils ont dit :
Kito De Pavant (Groupe Bel) : «Nous sommes restés collés à la côte en Grèce : c'est le jeu et la route est encore longue. Là, nous avons une belle vitesse de 13,5 nœuds. Le bateau va vite et nous en profitons avant que le vent ne mollisse (…) A bord de Groupe Bel, nous sommes à l'attaque et nous espérons revenir dans le match très vite. On va essayer d'être opportuniste et de faire les bons choix...»

Guillermo Altadill (1876) : «Nous avons passé une très bonne nuit, nous avons bien navigué et fait les bons choix de voiles. Nous sommes aussi restés très concentrés sur la vitesse du bateau et nous avons pu grappiller quelques milles sur Foncia. Nous avons effectivement privilégié une route plus au large au passage du Péloponnèse : elle nous semblait plus sûre, avec plus de pression. Les prochaines 5-6 heures s'annoncent cruciales pour la suite de la régate...»

Roland Jourdain (Veolia Environnement) : «Cela pourrait aller mieux, on a quand même beaucoup subi cette nuit et nous sommes toujours au beau milieu d'une belle bulle. La mer est plate avec des risées erratiques qui finissent par s'évanouir. Pour combien de temps encore ? Impossible à dire : ça peut encore durer ! Il fait très chaud, ce n'est pas simple du tout. On commence à accuser un retard qui risque d'être difficile à rattraper. Mais dans tout ça, j'ai eu le plaisir de voir un banc de cinq daurades coryphènes qui tournent autour du bateau : je n'en avais jamais croisé en Méditerranée, voilà c'est fait !»

Classement à 12h00, mardi:
1. Foncia à 823,2 milles de l'arrivée
2. Groupe Bel à 4,5 milles
3. 1876 à 7,5
4. Paprec Virbac 2 à 38,2
5. Veolia Environnement à 130,3
6. DCNS à 134,3


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>>> PF
Des ourses brunes transférées dans un sanctuaire en Turquie

L'orient Lejour - 02/09/2009

Deux ourses brunes, enfermées dans un zoo en mauvais état qui a récemment clos ses portes, ont été transférées le week-end dernier dans un sanctuaire pour ours en Turquie, à l'initiative de l'association Animals Lebanon.

Il y avait quarante autres animaux pris au même piège, mais ils avaient tous été sauvés par l'association. Seules les deux ourses, Kira et Big Mama, restaient prisonnières de leurs cages, le propriétaire du zoo refusant de les céder. Marguerite Chaarawi, cofondatrice de Animals Lebanon, a même dû les visiter quotidiennement pour les pourvoir en eau et en nourriture.

Finalement, le propriétaire a accepté l'idée du transfert des deux animaux. Ceux-ci ont été transportés vers Istanbul via Dubaï, par la compagnie Emirates Airlines qui a sponsorisé 40 % du voyage. Le sanctuaire se trouve à Bursa, une belle région forestière qui accueille déjà plus de 50 ours. Deux experts du sanctuaire ont fait le déplacement pour aider au transfert des deux ourses.

Marguerite Chaarawi a rappelé que les deux ourses ont vécu de nombreuses souffrances, étant nées en captivité, forcées à faire partie d'un cirque puis placées dans un zoo où elles ont dû rester quelque six mois après le départ des autres animaux.

Les ours bruns sont considérés comme une espèce en danger de par le monde, menacée particulièrement par la chasse sauvage et la perte de l'habitat naturel.
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