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"Tournée d'Erdogan en Afrique du Nord"

 
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Raskolnikoff
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MessagePosté le: 06 Juin 2013 22:24    Sujet du message: "Tournée d'Erdogan en Afrique du Nord" Répondre en citant

Commentaires de la presse maghrébine




http://www.liberte-algerie.com/international/grosses-pierres-dans-la-vitrine-d-islamiste-democrate-d-erdogan-il-voulait-offrir-au-maghreb-son-modele-201201

Il voulait offrir au Maghreb son modèle
Grosses pierres dans la vitrine d’islamiste démocrate d’Erdogan

Par : Djamel Bouatta

Adulé, Erdogan est désormais détesté dans son pays. Le Premier ministre turc avait préparé minutieusement son périple maghrébin où il avait pensé vendre son modèle idéologique et politique, un islamo-conservateur sur fond d’économie néolibérale avec en pointe l’affairisme type bazar. Ça n’a pas marché, tant mieux pour les Maghrébins et surtout pour l’Algérie où Erdogan est resté plus longtemps malgré l’absence du président Bouteflika en convalescence aux Invalides, le centre de remise en forme de l’armée française à Paris. Pourtant, il y a une année, Recep Tayyip Erdogan était admiré chez lui et envié à l'étranger pour la croissance à deux chiffres de l’économie turque qui a permis à son Parti de la justice et du développement (AKP) (parti islamiste) de remporter trois législatives d'affilée, la dernière avec 49,9% des suffrages. Du jamais vu depuis l'avènement du multipartisme dans le pays en 1946. Erdogan, accueilli en 2012 en star, à Tunis et au Caire, où les Tunisiens et les Égyptiens venaient de se débarrasser de Ben Ali et de Moubarak, devait livrer ses  recettes à Ennahdha et aux Frères musulmans. Les Etats-Unis voyaient alors en lui le prototype de l'islamiste apprivoisé par la démocratie. Ses concitoyens ont déchanté suite à son autoritarisme et à sa volonté de mettre en pratique l’idéologie de son parti qui a tombé le masque estimant ne plus pouvoir être contesté. Idem pour ses supporters au Maroc, en Algérie et en Tunisie qui ont également découvert toute la fragilité de son islamo-conservatisme. Au Maroc, il n’a pas été reçu par Mohammed VI ! Erdogan a dû écourter son séjour, pour des raisons non publiées, mais on sait que sa première escale maghrébine est en pleine crise institutionnelle. L’Istiqlal, parti historique, a remis le tablier et les islamistes du PJD, pâle copie de l’AKP, au pouvoir à Rabat, sont le nez au mur. Erdogan est plus contesté qu'il l'a jamais été dans son propre pays qu’il pensait tenir d’une main de fer au point de se voir à la magistrature suprême après avoir remodeler la Constitution selon ses propres desseins. Lorsqu'il accède au pouvoir en 2003, Erdogan est un homme prudent. Islamiste très tôt, il arrache la mairie d’Istanbul en 1994 et se propulse sur la scène politique nationale en mixant dans l’AKP des ingrédients modernistes, les libertés fondamentales que l’armée avait accaparées au nom d’un nationalisme chauvin. Il fonde l'AKP en 2001, s'engageant à respecter la laïcité, devient le plus “pro-européen” des politiciens turcs... C’est l'époque où il déclare : “La démocratie est un tramway, il nous amènera jusqu'où nous voulons aller et alors nous descendrons.” Les Turcs étaient pour le moins convaincus de sa conversion à la démocratie. Aujourd’hui, ses réformes, y compris celles pro-européennes, se révèlent n'avoir servi qu'à réduire le pouvoir de l'armée. Celle-ci rentrée dans ses casernes,  Erdogan est redevenu lui-même : un islamiste qui s’assume pleinement. Lui aussi réduit les libertés, 60 journalistes en prison, des artistes et intellectuels également, croisade contre l'alcool, l'avortement et les baisers en publics... D'où cette réaction violente de la grosse moitié des Turcs qui n'a pas voté AKP. Erdogan qui a plus d’un tour dans son sac va essayer de les faire patienter jusqu’en 2014, date des prochaines législatives… Mais lui tiendra-t-il ?
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Родион Романович Раскольников
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MessagePosté le: 06 Juin 2013 22:27    Sujet du message: Répondre en citant

Maroc/Turquie : Le roi n’a pas reçu le Premier ministre Erdogan

Publié le 04.06.2013 à 13h10 | Par Mohammed Jaabouk
http://www.yabiladi.com/articles/details/17745/maroc-turquie-recu-premier-ministre.html



Le chef de gouvernement turc, Recep Tayyip Erdogan ne gardera pas de bons souvenirs de son premier déplacement au Maroc. Son tête-à tête avec le roi Mohammed VI n’a pas eu lieu. En somme une visite-monologue au cours de laquelle, il s’est réuni, uniquement, avec ses « frères » islamistes.


[Maroc/Turquie : Le roi n’a pas reçu le Premier ministre Erdogan ]

La visite du Premier ministre turc au Maroc se termine en queue de poisson. Le chef de l’AKP a écourté son séjour au Maroc, initialement étalé sur deux jours, pour se rendre en Algérie. Certes Benkirane a tenté de détendre l’atmosphère mais les images diffusées, hier, par 2M et Al Oula, montraient un Recep Tayyip Erdogan crispé. Et pour cause, il ne s’attendait pas à ce qu’il ne soit pas reçu par le roi Mohammed VI. Un privilège que l’Espagnol Mariano Rajoy et le Français Jean Marc Ayrault ont eu lors de leurs déplacements au royaume. Mais aussi des ministres des Affaires étrangères ou de l’Intérieur de pays arabes et européen.

Et pourtant, le chef de la diplomatie, Saâdeddine El Otmani affirmait, dans des déclarations très rassurantes à Anadolu Agency (AA) que le monarque allait souhaiter la bienvenue à Erdogan. Apparemment convaincu par les paroles du PJDiste, AA diffusait une dépêche au titre suivant : « Turkish Premier to be welcomed in Morocco by the king himself ». Un autre indicateur, si besoin est, du manque de communication entre le gouvernement et le Palais. Certains médias marocains ont fait état de relations très tendues entre les conseillers du roi et des ministres PJDistes au point que c’est le ministre de l’Intérieur qui joue de relais entre eux et l’entourage du roi.

Erdogan a boudé le Maroc en septembre 2011

Finalement, Erdogan est parti du Maroc sans prendre langue ni avec le Palais, son entourage ou encore le patronat. Une visite-monologue au cours de laquelle, Erdogan a eu des entretiens avec des islamistes comme lui : Abdelilah Benkirane flanqué de son confident Abdellah Baha, le ministre d’Etat sans portefeuille, et des représentants de l’association Amal Entreprises, dite très proche de l’AKP et du PJD.

L’accueil froid réservé à Recep Tayyip Erdogan serait-il la réaction à la mise à l’écart de l’étape Maroc lors de sa tournée, en septembre 2011, dans les pays dits du « printemps arabe » en liesse après les chutes des régimes de Kadhafi, Ben Ali et Moubarak ? A l’époque, le chef de l’AKP s’était rendu en Libye, Tunisie et l’Egypte, uniquement. Rabat avait-elle interprété le geste d'Erdogan comme une non-reconnaissance de sa part des réformes initiées par le roi ? Lesquelles avaient porté, trois mois plus tard, les islamistes du PJD à diriger une coalition gouvernementale.

Hier, la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des représentants a été marquée par les demandes émanant de ministres du PJD annulant ou reportant les réponses aux questions qui leurs ont été posées. Ils avaient mieux à faire : accueillir Erdogan à l’aéroport Rabat-Salé. En revanche, les autres ministres de la majorité étaient présents au parlement, à l’image d’Aziz Akhannouch, titulaire du maroquin de l’Agriculture et de la Pêche. Et c'est seulement après avoir répondu à huit questions, qu'il est allé à la rencontre de son homologue turc.
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MessagePosté le: 06 Juin 2013 22:33    Sujet du message: Répondre en citant

Visite d’Erdogan en Tunisie : Le mythe du « modèle turc »

http://nawaat.org/portail/2013/06/06/visite-derdogan-en-tunisie-le-mythe-du-modele-turc/

En six jours, les manifestations qui secouent la Turquie ont fait deux morts et près de 2 000 blessés. Attisée par une répression policière féroce, la contestation, qui a débuté le 31 mai par des manifestations à Istanbul contre la transformation du parc Gezi – l’un des derniers espaces verts de la ville – en complexe commercial, a gagné tout le pays. Des milliers de Turcs sont descendus dans la rue, dans des dizaines de villes du pays.

Pas de quoi impressionner pourtant le Premier ministre turc, qui cherche à minimiser la gravité de la situation, et pour qui les manifestations sont orchestrées par des « extrémistes» et des « marginaux » . Recep Tayyip Erdogan a en effet décidé de maintenir sa tournée de cinq jours au Maghreb, prévue de longue date. « La situation est en train de se calmer. À mon retour de cette visite, les problèmes seront réglés », a-t-il déclaré le 3 juin lors de son passage à Rabat, au Maroc.

« Say Dégage to Erdogan »

La Tunisie est la dernière étape de cette tournée. Erdogan a atterri hier soir à Tunis, où il doit rester deux jours. Un important dispositif sécuritaire a déjà été mis en place autour de l’ambassade de Turquie, en prévision de manifestations de protestation contre sa venue à Tunis.

Si la visite du Premier ministre turc est mal vue par une partie des Tunisiens, qui s’identifient, après avoir fait une révolution, à la lutte des manifestants turcs, il en est autrement du gouvernement. Tunis et Ankara ont en effet prévu de signer plusieurs accords bilatéraux, dans les domaines diplomatique, sécuritaire, éducatif, culturel et surtout… économique. Car Erdogan a emmené avec lui pas moins de 200 hommes d’affaires et investisseurs turcs.

L’Assemblée nationale constituante a déjà adopté, hier en séance plénière, deux accords de crédit d’une valeur totale de 640 millions de dinars, dont l’un est destiné à financer l’acquisition de produits d’origine turque. Tout bénéfice pour la Turquie, qui exporte déjà six fois plus de produits vers la Tunisie que la Tunisie n’en exporte vers la Turquie.

Erdogan doit également, à l’occasion de cette visite, coprésider avec le Premier ministre Ali Laârayedh la première réunion du Conseil supérieur tuniso-turc de coopération stratégique, dont la création avait été annoncée en décembre 2012 à Ankara.

Le chef du gouvernement turc participera enfin, cet après-midi, à un forum d’affaires tuniso-turc organisé par l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica). Une manifestation « Say Dégage to Erdogan » est d’ailleurs prévue aujourd’hui à 15 h devant le siège de l’organisation patronale.

Outre les intérêts économiques qui lient la Tunisie et la Turquie, il existe entre les partis islamistes au pouvoir dans les deux pays – Ennahda et AKP (Parti de la justice et du développement) – une affinité idéologique. Le chef d’Ennahda Rached Ghannouchi ne s’en est jamais caché, lui qui a déclaré considérer « l’expérience turque comme un modèle » .

Mise au pas des contre-pouvoirs

Le « modèle turc », tant mis en avant par Erdogan, serait en effet la preuve que l’islamisme est compatible avec la démocratie et la modernité.

Si l’on considère qu’il suffit d’organiser des élections libres pour être une démocratie, cette définition s’applique effectivement à la Turquie. En revanche, l’état de la liberté d’expression dans le pays est inquiétant.

Dernière atteinte en date : hier matin, au moins 25 personnes ont été arrêtées à Izmir pour avoir répandu sur le réseau social Twitter des «informations trompeuses et diffamatoires». Elles auraient en fait, selon l’opposition, simplement « appelé les gens à manifester ».

Fort de sa majorité – le parti d’Erdogan, l’AKP, a gagné trois fois de suite les élections législatives, avec un score frisant les 50 % en 2011 –, le Premier ministre turc a mis au pas tous les contre-pouvoirs.

La grande majorité des médias sont aux mains de groupes proches de l’AKP, et 49 journalistes sont aujourd’hui en prison, faisant de la Turquie, selon Reporters sans frontières (RSF), « la plus grande prison du monde pour les journalistes » . Au classement mondial de la liberté de la presse 2013 établi par RSF, la Turquie est 154e sur 179 .

La justice est aussi devenu un instrument aux service de l’AKP, qui, sous prétexte de « complot contre le gouvernement » et de « terrorisme », multiplie les procès contre les étudiants, intellectuels et militants proches de l’opposition. Ces lois ont également été utilisées pour réprimer la minorité kurde, dans un contexte de conflit armé entre l’armée turque et les rebelles indépendantistes du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan).

Les ONG estiment qu’il y aurait aujourd’hui entre 8 000 et 12 000 prisonniers politiques en Turquie.
L’armée elle-même a été mise hors d’état de nuire. Deux mois après la victoire de l’AKP aux dernières législatives de 2011, le gouvernement Erdogan a poussé le chef d’état-major et les commandants des armées de terre, de mer et de l’air à la démission, et incarcéré 250 officiers supérieurs pour « complot contre le gouvernement ».

La dérive autoritariste d’Erdogan, couplé à la répression policière – les effectifs des forces de l’ordre ont triplé depuis son arrivée au pouvoir, il y a dix ans – alimentent aujourd’hui la colère des manifestants d’Istanbul, d’Ankara et d’ailleurs.

Une politique économique néolibérale

Pour à la « modernité », tout dépend là aussi de ce que l’on entend signifier. Erdogan aime à mettre en avant la réussite de sa politique économique néolibérale : la Turquie est la 17e économie du monde en termes de PIB. Mais la croissance rapide du pays, qui a atteint pendant deux années des records, à plus de 8 %, est en train de s’essouffler, et a ralenti à 2,2 % en 2012, selon les chiffres de l’Institut turc de la statistique. Il existe également d’importantes inégalités sociales entre les régions, la dette publique atteint 80 % du PIB, et l’inflation est de 7 % environ. Sans compter la dette des consommateurs turcs, qui augmente de 40 % chaque année.

Les nouveaux « Indignés » turcs ne s’y trompent pas, quand ils scandent dans leurs manifestations des slogans anticapitalistes. Ils sont également excédés par les projets urbains mégalomaniaques d’Erdogan. Celui qui fut dans les années 1990 maire d’Istanbul a voulu, par des projets démesurés, faire de la capitale économique du pays la vitrine de son parti. Mais le plan de transformation du parc Gezi en centre commercial géant semble être le projet de trop.

Quant à la « modernité » de la société, pour laquelle la Turquie a souvent été citée en exemple, elle semble elle aussi menacée.

Les opposants craignent un retour en arrière

L’AKP se définit en effet comme un parti islamiste « modéré », et le pays, dont la population est majoritairement musulmane, a depuis près d’un siècle un régime laïque, mis en place en 1924 par Mustapha Kemal Atatürk, considéré comme le fondateur de la Turquie moderne.

Pourtant, les opposants craignent un retour en arrière, et la destruction par Erdogan, qu’ils accusent d’instrumentaliser la religion, de l’héritage d’Atatürk.

Au mois de mai notamment, une loi a été votée par le parlement turc interdisant la vente d’alcool pendant la nuit, ainsi qu’autour des lieux de culte et des écoles. La consommation d’alcool est désormais interdite sur les vols intérieurs de la Turkish Airlines, et sur les terrasses de certaines villes.

Peu s’en souviennent, mais lors de sa campagne électorale pour la mairie d’Istanbul, en 1994, Erdogan avait déclaré être un « serviteur de la charia ». Le Premier ministre turc a déclaré avoir changé depuis, mais les récentes mesures prises par son gouvernement inquiètent une partie de la jeunesse turque, laïque et éprise de liberté.

S’il existe ou a existé un modèle turc, il est peut-être aujourd’hui en train de se fissurer.
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MessagePosté le: 06 Juin 2013 23:07    Sujet du message: Répondre en citant

Protestation contre Erdogan en Tunisie




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